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Meurs et deviens

article de Jean Clerbois (1969)
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Cet article a paru originellement dans le N°390 de la revue Le Symbolisme (Juillet-septembre 1969). Il a été ressaisi et corrigé par France-Spiritualités.
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      Le principe essentiel de l'initiation maçonnique, la mort au monde profane, suivie de résurrection dans le monde de l'esprit, a été exposé dans un poème concis et d'une magnifique plastique par notre F:. Goethe, sage parmi les sages :

Ne le dites à nul autre qu'au sage,
Car la foule est prompte à l'insulte.
Je veux louer le vivant
Qui aspire à mourir dans la flamme.

Dans la fraîcheur des nuits d'amour,
Où tu reçus la vie, où tu la donnas,
Te saisit un sentiment étrange
Quand luit le flambeau silencieux.

Tu ne restes plus enfermé
Dans l'ombre ténébreuse
Et un désir nouveau t'entraîne
Vers un plus haut hyménée.

Nulle distance ne te rebute,
Tu accours en volant, fasciné
Et enfin, amant de la lumière,
Te voilà, ô papillon consumé.

Et tant que tu n'as pas compris
Ce : « Meurs et deviens »
Tu n'es qu'un hôte obscur
Sur la terre ténébreuse.

      Il est difficile de rencontrer un texte affirmant plus fortement l'articulation du spirituel dans le charnel, du charnel dans le spirituel.

      N'avons-nous pas l'impérieux devoir de construire la vérité de la vie, la vérité de la mort ?

      Le "Manuel d'instruction du 4ème degré" nous rappelle que nous sommes passés de l'équerre (matière) au compas (l'esprit). Et il précise : « ainsi que le géomètre qui passe des lignes droites et des angles aux grandes courbes et au cercle, nous aspirons à nous élever et à pénétrer dans les hautes régions de la connaissance spirituelle ».

      De son côté, notre F:. Lantoine pose la question : « Que veulent les hommes ? Etre guéris de leurs maux et du mal qui leur semble le plus terrible de tous : la mort ».


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*       *

      Cette question de la mort ne peut laisser personne indifférent. Il y a là un problème angoissant pour celui qui réfléchit, dès qu'il parvient à l'âge où l'on se rapproche du port mystérieux, dont personne n'est jamais revenu et dont, par conséquent, nul ne peut parler avec certitude.

      Le mystère de la vie et celui de la mort ne sont-ils pas les aspects complémentaires de la même question ?

      En tout temps, en tout lieu, après le déchirement de la séparation, les méditations sur la mort ont conduit au même résultat. La croyance en la survie forme le patrimoine de toutes les civilisations. Elle s'exprime dans la sculpture, la gravure, la peinture, la musique et la poésie. Elle s'exprime aussi dans toutes les légendes, les religions, les traditions et notamment notre rituel maçonnique. Elle se résume en deux mots : mort et transfiguration.

      Comme l'exprime le vers de Mallarmé : Le mort est devenu, ce qu'en lui-même, enfin l'éternité le change.

      La vie terrestre, avec son commencement et sa fin, apparaît alors comme un "passage" ; la mort elle-même, comme une nécessité, contribuant à l'ordre universel.

      Ce thème de "mort et transfiguration", nous l'avons utilisé dans notre rituel du 3ème degré. Nous en parlerons plus loin.
      Constatons qu'on retrouve ce thème à tous les âges de l'humanité.


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*       *

      Que pense du problème de la mort notre F:. René Guénon ?

      Dans son ouvrage Les états multiples de l'être, il affirme que l'état humain n'est qu'un état de manifestation, comme tous les autres et parmi une inifinité d'autres. Il se situe dans la hiérarchie des degrés de l'existence, à la place qui lui a été assignée par sa nature même. Si nous devons envisager cet état plus particulièrement, c'est uniquement parce que c'est celui où nous nous trouvons. C'est donc un point de vue très contingent.

      Pour lui, le fini que nous représentons passe par des états indéfinis pour atteindre l'Infini, et il n'y a pas lieu de nier tout ce qui dépasse la mesure de notre compréhension individuelle, plus ou moins étroitement limitée. « Il n'y a pas de choses inintelligibles, mais seulement des choses actuellement incompréhensibles pour la raison, faculté spécifiquement humaine. »

      Dans l'un des chapitres du livre Le symbolisme de la croix, René Guénon envisage plus particulièrement la positione extrême-orientale, où il note l'équivalence métaphysique de la naissance et de la mort.

      Il remarque qu'en géométrie, une droite ne peut rencontrer un plan qu'en un seul point. Il en est ainsi, en particulier, de l'axe vertical (assimilé au principe spirituel) par rapport à chaque plan horizontal (assimilé à un état d'existence), d'où René Guénon tire la conclusion qu'on ne repasse jamais par le chemin déjà parcouru.

      Il ajoute que la fin d'un cycle quelconque coïncide nécessairement avec le commencement d'un autre. Nous n'employons les mots "naissance" et "mort" que pour désigner les passages entre ces cycles, qu'il s'agisse des mondes aussi bien que des individus.

      Ainsi, la naissance humaine est la conséquence d'une mort (à un autre état) ; la mort humaine est la cause d'une naissance (dans un autre état).
      Dans L'homme est son devenir selon le Védanta, René Guénon voit une doctrine hindoue, purement métaphysique, ouverte sur des possibilités de conceptions illimitées.
      « Evidemment, dit-il, il importe de faire la part de l'inexprimable, car les symboles n'ont pour raison d'être que d'aider à la concevoir, en fournissant des "supports" pour un travail strictement personnel. »

      Il pose la distinction fondamentale du "Soi", la personnalité, ou principe transcendant de l'être, d'avec le "moi", l'individualité, modification transitoire et contingente.

      Comment René Guénon envisage-t-il « l'évolution posthume » ? L'individu – ou plus exactement son principe vital –, qui est passé à un autre état supérieur, n'a plus rien de commun avec l'espèce humaine. Il s'en est affranchi. S'il est véritablement transformé – c'est-à-dire au-delà de la forme – il obtient la « Délivrance », ce qui suppose une connaissance intégrale. Nous dirions, en terme maçonnique, l'initiation effective.

      A titre de comparaison, si la manifestation formelle est extérieure, périphérique, appartenant à la circonférence, à « la roue des choses », le centre de cette circonférence est le symbole de l'initié parfait, réintégré dans le Principe primordial.


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      A l'époque de l'Egypte antique, et selon Le livre des morts, Hermès Trismégiste adresse cet appel aux initiés : « Ô âme aveugle, arme-toi du flambeau des mystères et, dans la nuit terrestre, tu découvriras ton double lumineux, ton âme céleste. Suis ce guide divin et qu'il soit ton génie, car il tient la clé de tes existences passées et futures. »
      On a retrouvé l'inscription suivante, en Grèce, sur le Temple d'Eleusis : « Les grands mystères qui émanent des dieux font que, pour les mortels, la mort n'est plus un malheur, mais une joie. »

      Je ne vous parlerai pas de Pythagore, Socrate ou Platon. Ces philosophes ont fait l'objet de travaux et vous savez que leur système est basé sur l'immortalité de l'âme.

      Je n'évoquerai pas davantage et pour les mêmes raisons, la douce figure humaine de Jésus, ni de son fidèle interprète Jean, puisqu'en Loge-mère nous appartenons à Saint Jean, face au dogmatisme de l'Eglise, représenté par Pierre.
      Et, franchissant allègrement plus de deux millénaires, nous passerons du Temple d'Eleusis aux temples maçonniques, ce qui nous permet de revenir à notre grand F:. Goethe, qui a servi de préface à notre travail.

      La dernière période de la vie humaine est dominée par la grande symphonie de la mort. Ayant accompli son destin sur terre, l'homme se prépare à partir pour de nouveaux espaces. Mais il doit auparavant enseigner et transmettre aux jeunes générations la sagesse qu'il a acquise pendant sa vie.
      Goethe tenait pour absurde l'idée que la mort entraîne la disparition totale de l'être :

Mais tant que tu ne comprendras pas
La loi de mort et de renaissance,
Comme un triste étranger, dans ce monde,
Tu suivras un sentier obscur.

      Dans Faust, poème de l'Infini, il a dit : « L'au-delà ne m'inquiète guère ; mets d'abord en pièces ce monde-ci et l'autre paraîtra ensuite. »

      Dans Wilhelm Meister, il précise que le passage d'une forme à une autre ne se fait que par la destruction de la forme précédente. La mort est la condition même de la renaissance, mais la métamorphose implique qu'il subsiste un élément continu : l'arbre de vie, éternellement vert.

      Ainsi, dans le fameux Meurs et deviens, le meurs est la condition du deviens.

      Et n'oublions pas les dernières paroles de Goethe : « Plus de lumière ».


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      Si nous sommes en Loge, c'est parce que la science, c'est parce qu'aucune philosophie ne nous a donné le dernier mot du savoir. Ce que nous recherchons est bien au delà : c'est la Connaissance.

      Büchner, un des auteurs les plus notoires du matérialisme scientifique, reconnaît que la matière ne peut expliquer l'Univers que si on lui attribue des propriétés qui sont couramment placées dans le domaine de l'Esprit. En somme, on pourrait considérer les deux systèmes comme l'envers et l'endroit d'une même conception.

      Notre F:. Bédarride, dans son Travail sur la pierre brute, considère que « l'Antiquité, quand elle parlait d'un philosophe, entendait toujours que c'était à la fois un savant et un sage. Notre langage du Moyen-Age, dit-il, avait un beau mot : Sapience, qui réunissait à la fois la science et la sagesse en une seule expression verbale. Traduire cete expression synthétique dans la vie, en la dégageant des servitudes dogmatiques, voilà l'œuvre de notre époque.

      Dans le cabinet de réflexion,
dit-il encore, nous faisons connaissance avec le mot "Vitriolum", qu'on traduit par "Visite l'intérieur de la terre et en rectifiant, tu trouveras la Pierre cachée"... rentre en toi-même, fais l'inventaire de tes facultés, de tes sentiments ; connais-toi toi-même, c'est-à-dire prends contact avec ta véritable personnalité, sous le personnage transitoire dont t'ont revêtu ton origine, ton éducation, ta position sociale.
     ...prends ainsi contact avec la racine même de ton être pensant et conscient, avec le courant de vie spirituelle qui jaillit en toi-même.

      ...la Table d'Emeraude nous dit : "Sépare le subtil de l'épais". Il vaux mieux, comme l'écrivait Emerson, "attacher son chariot à une étoile qu'à un misérable poteau qui borne la route".

      ...à propos de route, il y aussi le chemin qui passe entre les deux colonnes et que doit suivre le vrai Maçon, à égale distance du dogmatisme et du scepticisme ; de la crédulité et du doute excessif, à la recherche de l'équilibre.
»


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*       *

      Illustre entre tous les Maçons, notre F:. Oswald Wirth constate :
      « Nous sommes, non les maîtres, mais les jouets de la vie. Elle est supérieure à nous et nous tient sous sa dépendance. Dans ces conditions, ce qui nous importe le plus, c'est de nous initier aux mystères de la vie. Chacun de nous est appelé à se rendre compte de sa participation à une vie plus étendue que celle dont la durée se mesure de l'instant de la conception à celui de la mort. Cette vie étroite et transitoire est la manifestation d'une vie plus vaste et plus durable.

      ...La puissance coordinatrice, qui débrouille le chaos, agit par l'organe de tous les êtres, même inconscients. Elle s'identifie avec la vie, à laquelle nous assignons un but lorsque nous croyons au progrès. Si l'activité générale aboutit à un progrès, c'est qu'elle ne s'exerce pas d'une manière aveugle : un œil est ouvert au centre du triangle lumineux, connu de tous les F:. M:.
»
      Dans son beau Livre de l'Apprenti, Oswald Wirth affirme que : « Rien ne commence et rien ne finit d'une manière absolue. Il n'y a de commencement et de fin qu'en apparence. En réalité, tout se tient, tout se continue, pour subir d'incessantes transformations qui se manifestent par une série de modes successifs d'existence.

      Ces modes sont variés. Tout ce qui se réalise en acte a précédemment existé en puissance. Tout être a donc ses racines dans l'origine même de toutes choses.
      ...pour les initiés antiques, la vie intégrale de l'homme comportait des alternatives d'action et de repos. La vie présente est une période d'activité matérielle, mais avant de naître, nous avons déjà vécu dans un état imperceptible à nos sens.
»

      « Sachons bien vivre, et la mort ne sera pour nous que le moyen de vivre mieux encore, » ajoute-t-il dans son Livre du Maître.


*

*       *

      Le rituel d'initiation au premier degré débute par la mort symbolique dans le cabinet de réflexion. Ce serait donc une grave erreur d'attribuer à cette partie du rituel la signification d'une renaissance uniquement morale de l'homme. Le secret ultime de la Franc-Maçonnerie, en sa qualité d'Ordre initiatique, consiste, en principe, à préparer l'homme à la mort et à la vie nouvelle qui l'attend.

      La mort est la dernière grande épreuve que personne ne peut éviter. L'humanité entière est soumise à cette initiation redoutable, mais combien peu nombreux sont les initiés !

      Mourir, c'est la condition pour renaître. C'est ainsi que l'initiation est une "seconde naissance" après la mort du cabinet de réflexion.
      Rappelons l'évolution du grain de blé, confié à la terre, et qui doit mourir pour libérer l'énergie, renaître sous forme d'épi. C'est ce que traduit le mot de passe du Compagnon : Schibboleth.

      Et le mot de Mac Benah, qui met fin à l'existence du Compagnon, ne signifie-t-il pas : « fils de la putréfaction» ?

      Ainsi, la vie est l'élément permanent de l'humanité, avant notre naissance et par-delà notre mort.

      Le Bouddha disait que « les portes du Nirvâna seront ouvertes à qui, ayant semé les vertus, aura récolté l'amour ». Et il ajoutait : « La mort est un mal qui plonge les créatures dans la terreur et ce mal n'est dû qu'à l'ignorance. Que l'homme est donc faible et misérable qui croit que le grand problème du monde est la mort, oubliant que ce problème est justement celui de la vie. »

      Mais, plus près de nous, Marius Lepage évoque la légende d'Hiram en des termes que je m'en voudrais de ne pas citer in extenso :
      « Nous sommes amenés, dit-il, à voir dans la légende d'Hiram, l'ultime enseignement de la Franc-Maçonnerie. C'est dans ce drame que se trouve la clef de tous les mystères maçonniques. Si la Maçonnerie nous apprend quelque chose, si elle possède en elle-même une force qu'elle transmet à ses adeptes, si, pour certains d'entre les Maçons, elle est l'alpha et l'oméga de toutes leurs démarches spirituelles, c'est dans l'étude de cette légende que nous trouvons la clef de toutes les énigmes et le fil d'Ariane qui nous guidera jusqu'au terme de nos voyages.

      La légende d'Hiram justifierait, à elle seule, la présence traditionnelle de la Maçonnerie à une origine remontant à des temps immémoriaux. Il est dit au candidat à la Maîtrise :

          - Meurs à toute agitation profane (cou).

          - Meurs à toute affection profane (cœur).

          - Meurs à toute connaissance profane (front).

      L'initiation au 3ème grade se synthétise dans un objet : la branche d'acacia et dans un mot hébreu : Mac Benah, qui signifie "fils de la putréfaction".

      C'est à une vie toute nouvelle que nous convie le rituel maçonnique. Nous avons dépouillé, au cours des différentes épreuves, tout ce qui constituait l'homme ancien.

      La transmutation maçonnique nous prépare très réellement à considérer le monde et les hommes sous des aspects totalement différents, à envisager sous un angle très particulier le déroulement ultérieur de notre propre vie sur terre.
      L'acacia a toujours été considéré comme un arbre sacré. L'arche d'alliance, le tabernacle et l'autel étaient en acacia. Les Egyptiens lui rendaient des honneurs divins. Les peuples anciens en faisaient des guirlandes. Des légendes nous disent que la couronne d'épines et la croix elle-même étaient en acacia. D'après d'autres légendes, le Buisson Ardent aurait été fait de ce bois.

      Mais c'est surtout comme accès au royaume de la mort et comme symbole d'immortalité qu'il a été introduit dans la légende d'Hiram. Ainsi, en confiant au nouveau Maître la branche d'acacia, l'Ordre lui enseigne le secret dernier qu'il a mission de transmettre aux hommes, ses frères.

      Il faut savoir mourir pour revivre immortel. Quiconque a franchi les portes de la mort a conquis la véritable Maîtrise. Fils de la putréfaction, l'acacia t'est connu.
»


*

*       *

      Il est impossible de situer l'homme dans le Cosmos et l'ensemble des cycles, mais une constatation s'impose : la place qu'il occupe apparaît bien réduite. L'évolution de la Terre n'est qu'un épisode de l'évolution cosmique.

      Il est naturel que nous, hommes, lui accordions une importance particulière ; mais n'oublions pas que c'est une vue très relative et que la croyance que, dans l'ensemble cosmique, la Terre est à la pointe du progrès évolutif est purement gratuite.
      D'autres mondes peuvent être arrivés à un stade beaucoup plus avancé que la Terre et la Vie peut y avoir créé des êtres très différents de nous et pourtant très supérieurs à nous, tant intellectuellement que spirituellement.

      Evidemment, nul argument ne peut démontrer, de façon péremptoire, notre immortalité. La conscience de notre immortalité est au-delà des bornes de la raison, faculté humaine ; mais n'oublions pas que Louis Lavelle a dit, dans un distinguo essentiel : « La raison – ou équerre – est la plus belle de toutes nos facultés, à condition que l'on n'en fasse pas la faculté qui raisonne, mais la faculté qui mesure. »

      C'est ici qu'intervient le compas – ou esprit – et nous savons comme je l'ai rappelé au début de ce travail, qu'au quatrième grade, nous sommes passés de l'équerre au compas.

      D'autre part, notre F:. René Guénon est l'auteur de cette formule dont la profondeur ne vous échappera pas : « L'intérieur ne peut être produit par l'extérieur, non plus que le centre par la circonférence, ni le supérieur par l'inférieur, non plus que l'esprit par le corps. »


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*       *

      Entrant dans sa 83ème année, un Maçon, interrogé sur sa mort, répondait : « La pensée de la mort me laisse parfaitement tranquille. J'ai la ferme conviction que notre esprit est un être de nature absolument indestructible et qui est actif d'éternité en éternité. »

      Et il ajoutait : Si j'agis jusqu'à la fin sans relâche, la nature est tenue de m'assigner une autre forme d'existence quand la présente ne pourra plus suffire à mon esprit. La conviction de notre survie résulte pour moi du concept d'activité. »

      De ces paroles empreintes d'une magnifique sérénité, retenons qu'elles sont conformes à nos principes d'amour fraternel, de glorification de l'effort, de pérennité de la Vie.
      « Le travail du Maçon ne s'arrête jamais ! »




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