Après avoir interrogé Alain Bouchet, directeur de l'I.M.E.V., sur le thème : "
Des hauts-lieux pour soigner", nous avons souhaité lui poser quelques questions sur le mystère de Théopolis. Ses réponses, comme vous pourrez en juger, viennent confirmer certains points avancés concernant la nature de la crypte de la chapelle du Dromon.
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Mystères & Enigmes >> Théopolis >> Articles & InterviewsFrance-Spiritualités : M. Bouchet, nous souhaiterions
connaître votre opinion sur le haut-lieu qu'est Théopolis, et plus particulièrement sur la crypte de la chapelle du Dromon.
Alain Bouchet : Théopolis est un lieu qui me tient particulièrement à cur. Je suis en effet originaire des environs de la
Motte-du-Caire [Note France-Spiritualités : village situé à une quinzaine de kilomètres de Saint-Geniez], et c'est donc une région que j'aime beaucoup. Il est vrai que l'
église de Dromon, que j'ai connue avant qu'elle ne soit pratiquement fermée, m'a surtout interpellé par sa
crypte druidique. Nous sommes en effet certains qu'il s'agissait d'un monument
druidique car nous y avons retrouvé la signature des
druides sur l'un des piliers, en l'occurrence une laie et ses porcelets. Par contre, lorsque nous y sommes retournés, quelques années plus tard, ces signes avaient été enlevés à coups de marteau et de burin. Aujourd'hui, lorsque l'on visite cette
crypte, on ne trouve donc plus ces
symboles qui signaient la trace de l'origine
druidique de ce lieu.
Au fond de la
crypte se trouve une pierre, dont nous n'avons pas encore mesuré la radioactivité, mais qui possède indéniablement des propriétés guérisseuses extrêmement importantes pouvant être utilisées dans des pathologies graves. Toutefois, ceci doit se faire sous contrôle d'un thérapeute car je ne pense pas qu'il faille
rester très longtemps sur cette pierre. Et nous avons remarqué, ici encore, qu'avec le temps, un certain nombre de morceaux de cette pierre ont été enlevés.
Enfin, à l'heure actuelle, il est très difficile de visiter la chapelle du Dromon du fait de la limitation des
jours et des heures de visite d'une part, et des diverses interdictions qui la frappent d'autre part. Il nous est ainsi devenu impossible de faire notre circuit énergétique et de procéder à une étude énergétique rigoureuse de ce lieu. Je le considère néanmoins comme un très haut lieu de guérison susceptible d'applications
thérapeutiques.
France-Spiritualités : Lorsque vous avez visité cette crypte et que vous avez remarqué ces signes sur le pilier, c'était il y a combien de temps ?
Alain Bouchet : Cela remonte à une quinzaine d'année environ, et nous y sommes retournés il y a sept ou huit ans. J'ai alors posé la question concernant ces signes et leur disparition. La personne qui était, à cette époque, chargée de la surveillance du lieu était absolument
ignorante de la chose. C'est quelque chose que l'on ne peut que regretter.
France-Spiritualités : Connaissez-vous M. Roger Corréard, "l'archiviste de Saint-Geniez et Théopolis" ?
Alain Bouchet : Non, je ne le connais pas.
Saint-Geniez est une petite ville gallo-romaine intéressante, avec une
histoire très particulière et très captivante. Je pense que la chapelle de Dromon et la
crypte étaient déjà connues du temps de
Théopolis ; c'est tout ce que je peux dire là-dessus.
France-Spiritualités : M. Corréard nous a montré des photos très bizarres prises dans la crypte. C'est photos de la crypte, une fois développées, nous montrent la pièce qui se trouve juste au-dessus d'elle, c'est-à-dire le premier étage. Par ailleurs, on note que les dimensions de la pièce ainsi photographiée ne correspondent pas à ce qu'elles sont en réalité. Auriez-vous un début d'explication à ce phénomène ?
Alain Bouchet : La
crypte, me semble-t-il, se trouve légèrement décalée et l'on y a trouvé deux galeries souterraines. Mais je pense qu'il faudrait réétudier tranquillement tout ceci, ce qui n'est pas possible à l'heure actuelle.
France-Spiritualités : M. Bouchet, merci beaucoup pour toutes ces précisions particulièrement intéressantes sur Théopolis.