OUVERTURE DES TRAVAUX
Le T
:. S
:. frappe un coup répété
par les surv
:. et dit :
« TT
:. Resp
:. et Parf
:. FF
:.,
aidez-moi à ouvrir le chap:. de R:. C:. »
Les surv
:. répètent et disent : «
TT
:. RR
:. et PP
:. FF
:., aidons le T
:. S
:.
à ouvrir le chap
:. de R
:. C
:. »
D. T
:. Exc
:. et P
:. F
:.
1er surv
:., quel est votre soin ?
R. T
:. S
:. et P
:. Me, c'est
de voir si le chap
:. est bien couvert et si tous les FF
:. ici présents
sont chev
:. R
:. C
:.
D. TT
:. CC
:. et PP
:. FF
:.
1er surv
:.,
assurez-vous en. (Le 2e surv
:. prend les signes,
parole, mot de passe et attouchement du Me des cérém
:. et
lui dit : « Voyez T
:. Puiss
:. et P
:. F
:., si
le chap
:. est bien couvert. » Le Me des cérém
:.
sort pour remplir son objet. En même temps, les surv
:., chacun sur
sa colonne, vont prendre à chaque F
:. les signes, mots et attouchement
de grade, et en rendent compte au T
:. S
:. par la voix du 1er surv
:.,
qui dit, ayant repris leurs places :
R. T
:. S
:. et P
:. M
:.,
tous les FF
:. ici présents sont chev
:. R
:. C
:.
(Le Me des cérém
:. ayant rendu compte au 2e surv
:.,
ce dernier frappe un coup de
maillet sur celui du 1er surv
:. le chap:. est
bien couvert.
Le 1er surv
:. frappe un coup de
maillet sur celui
du 2e surv
:., et le T
:. S
:. y ayant répondu, il dit
:
R. T
:. S
:. et P
:. Me, le
chap
:. de R
:. C
:. est bien couvert.
D. T
:. Ecl
:. et P
:. F
:.
1er surv
:.,
quelle heure est-il ?
R. L'instant où le voile du temple fut
déchiré, que les ténèbres se répandirent sur
toute la terre, que la lumière fut obscurcie, que les colonnes et les outils
de la maçonnerie furent brisés, que l'étoile flamboyante
disparut ; que la pierre cubique sua sang et
eau et que la parole fut perdue.
Le T
:. S
:. : « Puisque la maçonnnerie
éprouve une telle tribulation, employons toutes nos
forces en de nouveaux
travaux pour recouvrer la parole, et, afin d'y parvenir, ouvrons le chap
:.
de R
:. C
:. »
Les surv
:. disent, chacun parlant à sa colonne
: TT
:. RR
:. et PP
:. FF
:., le T
:. S
:.
va ouvrir le chap
:. de R
:. C
:., joignons-nous à lui.
Le T
:. S
:. frappe six coups et le 7e séparé.
Les surv
:. répètent la batterie.
Le T
:. S
:. dit : «
Faisons notre devoir. »
Il fait le signe de demande.
Tous les FF
:. font le signe de réponse. Ils
mettent ensuite le
glaive à la main gauche et se placent à l'ordre
de bon pasteur, de sorte que le
glaive est tenu par le bras gauche la pointe haute.
Les FF
:., guidés par le T
:. S
:., se tournent vers
l'O
:., font une
génuflexion et reprennent leurs places.
Le T
:. S
:. dit : «
Le chap:. de R:.
C:. est ouvert et les travaux du souv:. chap:. de
en son 4e ordre. »
Les surv
:. répètent. on applaudit par
six et un, en disant sept fois OSÉE ! (On ne frappe pas dans les mains, dans la
2e
chambre.)
le T
:. S
:. frappe un coup, répété
par les surv
:. et tous les FF
:. s'asseyent sur leurs banquettes
hautes d'un pied.
NOTA : On ne doit jamais entrer ni sortir sans faire une
génuflexion.
RÉCEPTION. Le T
:. S
:. dit : «
T
:. Ec
:. et P
:. F
:. 1er surv
:., quel sujet vous
rassemble ? »
R. T
:. S
:. et P
:. Me, la
propagation de l'ordre et la perfection d'un chev
:. d'Orient qui demande
à être admis parmi nous.
Le T
:. S
:. fait lecture de la requête
d'un postulant. On délibère sur le
jour et l'heure de sa réception.
Pendant ce temps, le Me des cérém
:. va lui dire qu'il doit
attendre que sa requête soit décrétée. Lorsqu'on ouvre
la porte, il doit se mettre à genoux pour la recevoir. Le T
:. S
:.
la remet à un chev
:. qui va la jeter à terre au postulant.
La porte refermée, il y trouve l'heure et le
jour fixés pour sa
réception.
le T
:. S
:. invite le Me des cérém
:.
à aller préparer le candidat dont la réception est à
l'ordre du
jour.
Le Me des cérém
:. va trouver le récipiend
:.,
le salue, le fait décorer en chev
:. d'Orient et lui dit : «
Tous nos temples sont démolis, nos outils et nos colonnes sont brisés,
la parole sacrée est perdue, et, malgré toutes nos perquisitions,
nous ignorons les moyens de la retrouver. Voulez-vous nous aider à la chercher
? »
Le récip
:. y ayant consenti, il lui dit :
Suivez-moi,
et le mène, la tête découverte, à la porte du chap
:.,
où il frappe en chev
:. d'Orient.
Les surv
:. en font l'annonce.
Le T
:. dit : «
Voyez qui frappe ainsi. »
Les surv
:. s'en assurent.
Un F
:. expert entr'ouvre la porte et dit au Me des
cérém
:. :
Que demandez-vous ?
R. « C'est un F
:. chev
:.
d'O
:., errant dans les
bois et les
montagnes, qui a perdu la parole, à
la 2e
destruction du temple et qui désirerait, avec votre secours, la retrouver.
»
Les surv
:. en font l'annonce.
Le T
:. S
:. dit : «
Que l'entrée
lui soit donnée. »
(Tous les chev
:., assis comme il a été
dit, ont la main gauche sur le cou, la droite sur le visage et les jambes croisées.)
Le récip
:. est introduit entre les deux surv
:.,
ayant à côté de lui le Me des cérém
:.
Le 1er surv
:. frappe un coup répété
par le 2e surv
:. et par le T
:. S
:., et dit : « T
:.
S
:. et P
:. Me, je vous présente un chev
:. d'Orient
qui cherche la parole. »
Le T
:. S
:. lui dit : « Mon
frère,
la confusion s'est glissée dans nos ouvrages ; il n'est pas en notre pouvoir
de travailler, vous devez vous en apercevoir à la consternation qui règne
ici. Il se passe, en cet instant, un dérangement sur la surface de la terre
: le voile du temple se déchire (
à ces mots, on tire un rideau
noir qui cache l'autel) ; les ténèbres sont répandus
sur la terre, la lumière est obscurcie, les autels et les colonnes sont
brisés, l'étoile flamboyante a disparu, la pierre cubique sue sang
et
eau, la parole est perdue. Vous voyez qu'il ne nous est pas possible de vous
donner la parole. Cependant, notre dessein n'est point de rester dans l'oisiveté.
Nous cherchons à la retrouver par une loi nouvelle ; êtes-vous dans
le sentiment de nous suivre ? »
R. Oui.
Le Me des cérém
:. le fait voyager par
le Nord, par l'O
:., le Midi et l'Occid
:., pour qu'il apprenne les
beautés de la nouvelle loi (Les voyages se réduisent à sept
tours. Chaque fois que le récip
:. passe devant l'
autel, il fait
une
génuflexion ; au dernier tour, le Me des cérém
:.
lui montre chaque colonne dont il répète l'annonce.).
Les voyages achevés, et le récip
:. entre
les deux surv
:. le 1er surv
:. dit, après avoir frappé
un coup : « T
:. S
:. et P
:. Me, le récip
:.
a terminé ses voyages. »
Le T
:. S
:. lui dit : «
Mon frère,
qu'avez-vous appris dans cette route ? »
(Le Me des cérém
:. souffle la rép
:.
au récip
:.)
R. T
:. S
:. et P
:. Me, trois
vertus pour me guider dorénavant :
Foi, Espérance, Charité.
Enseignez-moi s'il en est d'autres à suivre.
Le T
:. S
:. lui dit : « Mon
frère,
ce sont positivement ces colonnes et leurs inscriptions qui sont les principes
de notre ordre et de nos nouveaux mystères. Approchez et venez prendre
avec nous l'engagement de ne jamais vous éloigner de cette loi. »
Le Me des cérém
:. le conduit à
l'
autel, il s'agenouille, ôte ses gants, pose les mains sur le
glaive couché
sur le livre de la sagesse et baisse la tête. (Tous les chev
:. se
mettent debout et au signe de bon pasteur.)
Le T
:. S
:. pose son
maillet sur les mains du
récip
:. et lui fait prêter son obligation.
OBLIGATION. « Je promets, parole d'honneur, sur les
mêmes obligations que j'ai répétées dans les grades
précédents, de ne jamais révéler les secrets de chevaliers
de l'
aigle, sous le nom de Rose-Croix, à aucun F
:. de grade inférieur
ni à aucun prof
:., sous peine d'être à jamais privé
de la parole et d'être perpétuellement dans les ténèbres,
qu'un ruisseau de sang
coule sans cesse de mon
corps, que je souffre les plus
rudes angoisses de l'
âme, que les épines les plus piquantes me servent
de chevet, que le fiel et le vinaigre me servent de breuvage, que le supplice
de la
croix termine enfin mon sort, si jamais je contreviens aux lois qui vont
m'être prescrites. Je promets aussi de ne jamais révéler le
lieu ni par qui j'ai été reçu. Que le G
:. A
:.
de l'U
:. me soit en aide ! »
Le T
:. S
:. dit : «
Tout est consommé ! »
Tous les FF
:. se couvrent le visage de leurs mains
et s'asseyent.
Le Me des cérém
:. relève le récip
:.
et lui ôte son habit de chev
:. d'O
:.
Le T
:. S
:. lui passe une tunique (
la chasuble),
en disant : « Cet habit vous dénote notre croyance ; il doit vous
rappeler, par ses ornements (
la croix sur la chasuble), ce qui fait le
point principal de nos mystères. » Il lui met le
tablier,
en disant : « Ce tablier est la marque du sincère repentir des maux
qui ont causé tous nos malheurs. Il doit vous servir à reconnaître
ceux d'entre nous qui cherchent à recouvrer la vraie parole. » Il
lui passe le
cordon, en disant : « Ce cordon doit vous servir de
marque de deuil jusqu'à ce que la parole soit retrouvée. passez
à l'Occ
:. et vous nous aiderez à la chercher. »
Le T
:. S
:. frappe sept coups, répétés
à l'Occ
:. Tous les FF
:. se mettent debout et à l'ordre,
le
glaive dans la main droite.
Le T
:. S
:. fait aux surv
:. les questions
suivantes :
D. Quel motif nous rassemble ?
R. T
:. S
:. et P
:. Me, la
pierre cubique, qui ruisselle sang et
eau, par le relâchement des maçons
dans leurs ouvrages, est exposée, pour le succès de la maçonnerie,
sur le sommet du
calvaire.
D. Que signifie ce mystère ?
R. La perte de la parole qu'avec votre aide
nous espérons retrouver.
D. Que faut-il faire pour y parvenir ?
R. Embrasser la nouvelle loi, être pleinement
convaincu des trois vertus qui en sont les colonnes et la base.
D. Quelles sont-elles ?
R. La Foi, l'Espréance, la
Charité.
D. Comment trouverons-nous ces trois colonnes
?
R. En voyageant dans l'obscurité la plus
profonde.
« Le T
:. S
:. Voyageons mes FF:. de
l'Occ:. au Nord, de l'O:. au Midi, et surtout ne perdons pas de vue les sentiments
qui nous guident. »
(Tous les FF
:. voyagent en silence suivant leur rang
et font sept fois le tour du chap
:., le T
:. S
:. à
la tête, ensuite les surv
:., les off
:. dignitaires, les membres
des col
:., le récip
:. et le Me des cérémonies.)
Au 3e tour, le T
:. S
:. passe dans la
chambre
rouge. Au 4e, les surv
:. Au 5e, les off
:. dignit
:. Au 6e,
tous les chev
:., excepté le récipiend
:. et le Me des
cérém
:., qui font seuls le 7e tour, après lequel ils
se rendent à la porte du chap
:.où le Me des cérém
:.
frappe en chev
:. R
:.-C
:.
Le F
:. expert du porche intérieur entr'ouvre
la porte et apercevant le récip
:. qui se dispose à entrer,
il lui dit : «
Vous ne pouvez entrer à moins de me donner le mot.
»
R. Je suis un F
:. qui cherche la parole
par le secours de la nouvelle loi et des trois col
:. de la maçonnerie.
A ces mots, le F:. expert ferme la porte. Le Me des cérém
:.
dépouille le récipiendaire de son cordon et de son tablier, en disant
: « Ces marques ne sont pas assez humiliantes pour trouver la parole ; il
faut passer par des épreuves plus humiliantes encore. »
Il le couvre d'un drap noir saupoudré de
cendre, afin
qu'il ne puisse rien apercevoir et lui dit : « Je vais vous conduire dans
le lieu le plus ténébreux d'où la parole doit sortir triomphante
à la gloire et à l'avantage de la Maçonnerie, mettez votre
confiance en moi. »
Il le conduit dans un appartement où l'on a pratiqué
des élévations en montant et en descendant, répétées
le plus qu'il est possible. Il le mène ensuite sur le seuil d'une
chambre
(la troisième) qui représente les horreurs d'un lieu de peines et
de souffrances ; là, il lui relève le coin du drap qui le couvre
et lui fait faire, en silence, le tour de cet enfer. Ramené sur le seuil,
il lui rabaisse le drap, en disant : « Les horreurs que vous venez d'apercevoir
ne sont rien en comparaison de celles que vous souffrirez si, malheureusement,
vous n'observez pas notre loi. »
Le conduisant ensuite à la porte du chap
:.,
il lui dit : « Souveznez-vous de répondre aux questions qui vous
seront faites, sans quoi vous ne pouvez parvenir au grade que vous désirez.
Les voici :
D. D'où venez-vous ?
R. De la Judée.
D. Par quelle ville avez-vous passé
?
R. Par Nazareth.
D. Qui vous a conduit ?
R. Raphaël.
D. De quelle tribu êtes-vous ?
R. De
Juda.
Le Me des cérém
:. fait
frapper, par
le récipiendaire, sept coups en R
:. C
:. (
Après
les cérémonies accoutumées pour annoncer, ouvrir, et pour
s'assurer de celui qui demande l'entrée), le Me des cérém
:.
dit au F
:. expert qui entr'ouvre la porte :
«
C'est un chev:. qui, après avoir parcouru
les espaces les plus profonds, espère nous procurer la parole pour fruit
de ses recherches. » Le F
:. expert en fait l'annonce au
2e surv
:. qui en informe le 1er et celui-ci, le T
:. S
:.,
en disant : « T
:. S
:. et P
:. Me, c'est un chev
:.
qui, après avoir parcouru les espaces les plus profonds, espère
nous procurer la parole pour
fruit de ses recherches. »
Le T
:. S
:. : «
Qu'il soit introduit
à l'Occident et nous l'interrogerons. »
Cet ordre de retour au F
:. exp
:., les portes
s'ouvrent et le récipiendaire est introduit entre les surv
:. qui
en informent le T
:. S
:. en ces termes : « T
:. S
:.
et P
:. M
:., voici un F
:. ch
:. maç
:.
qui vient nous aider à retrouver la parole perdue et qui désire
devenir maç
:. parf
:. »
Le T
:. S
:. :
D'où venez-vous ?
R. De la Judée.
D. Par quelle ville avez-vous passé
?
R. Par Nazareth.
D. Qui vous a conduit ?
R. Raphaël.
D. De quelle tribu êtes-vous ?
R. De
Juda.
D. Donnez-moi les lettres initiales de ces
quatre mots ?
R. I. N. R. I.
D. Que signifient-elles ensemble ?
R. Jésus de Nazareth, Roi des Juifs.
«
Mes FF:., quel bonheur ! La parole est recouvrée,
que la lumière soit accordée au chev:. » (On lui ôte
le drap.)
Le T
:. S
:. dit : «
A moi, mes FF:., applaudissons ! (Par sept fois, disant autant de fois OZÉE !) Il dit au
néophyte :
« Mon
frère, je vous félicite sur le
recouvrement de la aprole qui vous fait acquérir le grade de Parfait maçon,
ce n'est pas assez de l'avoir su acquérir et mériter. Il faut être
toujours digne de le conserver et en tirer des
fruits pour l'avenir. Puissiez-vous
en jouir longtemps parmi nous, mon C
:. F
:., et en tirer, par une
vie digne d'un chev
:. R
:. C
:., la récompense de ceux
qui auront marché dans les sentiers de la vérité ! Approchez,
mon
frère, que je vous communique les mystères de la Parfaite maçonnerie.
» Le Me des cérém
:. le conduit à l'O
:.,
où le T
:. S
:. lui ôte sa
chasuble et lui donne le signe,
l'attouchement et la parole en disant : « Mon F
:., nous avons, dans
ce grade, comme dans les précédents, des signes, mots et attouchements
pour nous reconnaître ; il y a deux signes, l'un de demande et l'autre de
réponse :
SIGNE DE DEMANDE. Lever les yeux au
ciel, porter, en même
temps, les mains renversées à la
hauteur du front, les doigts entrelacés
et les laisser tomber ainsi sur le ventre. Ce signe s'appelle
signe d'admiration.
SIGNE DE RÉPONSE. Lever la main droite à la
hauteur du front sur le côté, ayant le pouce et les doigts fermés,
à l'exception de l'index avec lequel on montre le
ciel, en levant aussi
les yeux. ce signe indique que tout vient d'en haut et qu'il n'y a qu'un seul
être, source de pure vérité.
SIGNE DE SECOURS. Croiser la jambe droite derrière
la gauche, à la
hauteur du mollet. on y répond en croisant la jambe
gauche derrière la droite.
ATTOUCHEMENT. Placer réciproquement la main droite
à plat sur la mammelle droite du F
:. et la main droite sur la mammelle
gauche, et se donner le baiser frat
:., en disant, le 1er F
:. :
Emmanuel,
et le 2e :
paix profonde.
ORDRE. Les bras
croisés sur la poitrine, les mains
écartées ; il se nomme
signe du bon pasteur.
MOT DE PASSE.
Emmanuel (
Deus nobiscum). RÉPONSE :
Paix profonde ou
pax vobis.
MOT SACRÉ. I. N. R. I., il s'épelle.
AGE. Trente-trois ans.
BATTERIE. Sept coups (6+1).
MARCHE. Naturelle, trois pas précipités, étant
à l'ordre, et
génuflexion, avant de se placer.
« Allez, mon Fr
:., vous faire reconnaître
par les FF
:. Surv
:. et vous reviendrez auprès de moi. »
(Cela fait, le Me des cérém
:. le ramène à
l'O
:., tous les FF
:. l'entourent ; il se met à genoux et
le T
:. S
:. lui passe le cordon où pend le bijou, en disant
: « Par les pouvoirs que j'ai reçus de ce Souv
:. Chap
:.,
je vous crée et constitue Chev
:. de l'
Aigle, Parfait maçon,
libre, sous le nom de R
:. C
:., pour jouir, à présent
et pour toujours, des privilèges attachés à subl
:.
grade. Ne déshonorez jamais ce cordon qu'un parfait maçon doit porter
partout. La rosette qui est au bas, vous rappellera la perte de la parole. Le
bijou vous fera connaître, par son
symbole, que la Maçonnerie alléggorique
renferme des vérité qui sont du ressort du parfait maçon
; la forme du bijou doit vous en faire connaître plus que mon explication
; j'espère que vous n'en perdrez jamais la mémoire. »
Il lui pose la lame du
glaive sur l'épaule droite, puis sur la gauche ;
il le relève, l'embrasse et lui dit :
« Nous avons aussi dans ce gr
:. des
hiéroglyphes
qui ne sont connus que de nous. On vous les communiquera, mais gardez-vous d'en
abuser. Ne craignez plus les vicissitudes des temps, et que le G
:. A
:.
vous soit en aide ! »
« F
:. Me des cérém
:., conduisez
le chev
:. entre les surv
:. » (Cet ordre s'exécute.)
« TT
:. Ecl
:. et PP
:. FF
:.
surv
:., annoncez à tous les RR
:. et PP
:. FF
:.
chev
:. qu'ils aient à reconnaître, à l'avenir, le F
:.
N... pour Chev
:. de l'
Aigle, Parfait maçon, libre, sous le titre
R
:. C
:., et membre du Souv
:. Chap
:. de... 4e ordre.
» (Les surv
:. répètent.)
Le T
:. S
:. : «
Applaudissons, mes
FF:. » Tous les chev
:. applaudissent par sept, disant autant de fois OZÉE !
Le
néophyte demande à remercier et son remerciement
est couvert ; puis le T
:. S
:. lui dit : «
Mon frère,
prenez place parmi nous. » (Le Me des cérém
:. le
fait placer.)
Le T
:. S
:. : «
T:. écl:. et
P:. F:. orat:., vous avez la parole. »