Dom Antoine-Joseph Pernéty C'est proprement la rosée du printemps et celle de l'
automne, dont les propriétés sont admirables pour la guérison de beaucoup de maladies, lorsqu'elles sont travaillées par une main habile dans la Spagyrique. Les Philosophes ont donné ce nom à leur mercure pour tromper les
ignorants; quelques-uns d'entre eux ayant pris ces expressions à la lettre, ont cru que c'était la matière d'où il fallait extraire le mercure des Sages, et ont perdu leurs peines et leur
argent.
Dom Antoine-Joseph Pernety, Dictionnaire mytho-hermétique, Edition de 1758 - Français modernisé par France-Spiritualités.