Dom Antoine-Joseph Pernéty Mercure des Philosophes. Ce n'est pas le mercure vulgaire cru,
tiré simplement de sa mine, mais un mercure extrait des
corps dissous par l'
argent-vif ; ce qui fait un mercure bien plus mûr.
Bernard Trévisan,
Epître à Thomas de Boulogne.
C'est avec ce mercure que les Philosophes lavent leur laiton ; c'est lui qui purifie le
corps impur avec l'aide du
feu; et par le moyen de cet
azoc on parfait la médecine propre à guérir toutes les maladies des trois règnes de la Nature. Cet
azoc doit se faire de l'
élixir.
Ibid.
Dom Antoine-Joseph Pernety, Dictionnaire mytho-hermétique, Edition de 1758 - Français modernisé par France-Spiritualités.