Dans la clôture de la Loge, dans le deuxième degré, nous n'avons à mentionner spécialement qu'un seul point. Le Vén:. demande au deuxième Surv:. ce qu'il a trouvé, le lieu de sa découverte et à quoi elle fait allusion ; il reçoit cette réponse : « Un symbole sacré au centre de l'édifice », par allusion au G:.A:.D:.L:.U:. On est loin de s'accorder sur ce que devrait être ce symbole sacré. Tous admettent qu'il doit être placé sous l'Etoile flamboyante dont il est, en un certain sens, le reflet.
Comme la lettre G se trouve dans l'étoile, la même lettre est quelquefois reproduite sur le plancher. Mais celle-ci, pense le major Sanderson, a simplement été substituée dans les temps modernes à l'il qui voit tout et dont parle le Vén:. dans le rituel masculin, en expliquant le symbole. D'autre part, le Fr:. Ward prescrit que le point dans le cercle limité par deux lignes droites doit être incrusté en cuivre dans le plancher. Les deux manières de faire se prêtent à une objection : le symbole étant toujours présent, on ne pourrait guère en dire qu'il a été découvert seulement dans le travail du deuxième degré. Dans une certaine Loge nous avions coutume de prendre pour symbole l'étoile à sept pointes mobile, et nous ne la posions sur le plancher que pendant le travail du degré de Comp:..Voici comment s'exprime le Vén:., dans le rituel de la Maçonnerie Mixte, en commentant le symbole :