Roger Corréard, retraité de l'aéronautique navale âgé
de 73 ans, se lance en 1971 sur la trace des OVNIs à la suite de la lecture
d'un ouvrage de Guy Tarade. Mais, c'est après avoir lu
L'île
des Veilleurs d'Alfred Weysen qu'il entreprend sa quête vers
Théopolis, située sur la commune de
Saint-Geniez à quelques
kilomètres du
Poët, son village natal. Roger se remémore alors
l'
histoire, maintes fois entendues durant son enfance, d'une cité bâtie
dans les
montagnes et détruite lors des
guerres de religion -- cité
disparue qui apparaît d'ailleurs en arrière-plan d'un tableau représentant
Saint-Joseph, situé dans l'
église du
Poët.
Depuis les années 1970, celui que l'on surnomme "le
dernier archiviste de Théopolis", et aussi "Dardanus", parcourt
la terre des Avanticiens à la recherche de la cité perdue. Inutile
de préciser que Roger, qui a longtemps servi de guide de la chapelle Notre-Dame
de Dromon en compagnie de son
épouse Solange, a vu passer beaucoup de monde
dans ce petit village des Alpes de Haute-Provence. Aujourd'hui, Roger et Solange
continuent à accueillir de nombreux groupes de visiteurs, issus de tous
horizons, désireux de marcher sur les traces de
Dardanus le Grand
Romain.
C'est donc avec leur gentillesse et leur enthousiasme habituels qu'ils ont mené
l'équipe d'investigation de France-Spiritualités vers l'antique
Cité des
Dieux.
Roger, intarissable sur le
sujet, fait voyager son auditoire à travers le temps, de la venue des Chaldéens aux guerres des Burgondes, en passant par l'installation des
légions du Préfet du Prétoire des Gaules en 420, jusqu'à nos
jours et à ces étranges visiteurs venus d'autres cieux. Avec simplicité et érudition, il étaye ses découvertes de nombreuses références à des données historiques et
religieuses.
Précisons enfin que
Roger Corréard ne fait aucune difficulté
pour révéler ses sources et qu'il n'hésite pas à partager
le
fruit de ses découvertes avec tous ceux qui souhaitent étudier
avec respect ce site merveilleux de
Théopolis, dont il est le plus ardent
protecteur. Enfin, et cela mérite d'être souligné,
Roger Corréard
ne tire absolument aucun bénéfice financier de ses recherches.