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Dom Jean Mabillon

(23 novembre 1632, à St-Pierremont - 27 décembre 1707, à Paris)
Erudit bénédictin de la congrégation de St-Maur
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Dom Jean Mabillon dans son temps
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Biographie universelle ancienne et moderne

Dom Jean Mabillon (1632-1707)      Jean Mabillon, bénédictin de la congrégation de St-Maur, et l'un des hommes les plus savants qu'elle ait produits, était né à St-Pierremont, village du diocèse de Reims, le 23 novembre 1632. Un de ses oncles, curé dans le voisinage, se chargea de sa première éducation, et l'envoya ensuite continuer ses études au collège de Reims, où il se distingua bientôt par la vivacité de son esprit, sa modestie et son application à ses devoirs. Ses cours terminés, on lui fit obtenir une place au séminaire, où il demeura trois ans, partageant son temps entre la lecture, la méditation et la prière ; il n'en sortit qu'avec la résolution d'embrasser la vie monastique, et il prononça ses vœux à l'abbaye de St-Rémi, au mois de septembre 1654. Mabillon fut, presque aussitôt, chargé de la direction et de l'enseignement des novices ; mais l'ardeur avec laquelle il remplit ses nouvelles fonctions l'obligea de les discontinuer ; et celui qui était né pour faire d'importantes découvertes dans tous les genres de littérature se trouva presque réduit à n'oser penser. Ses supérieurs l'envoyèrent successivement dans différentes maisons, espérant que les voyages et la distraction contribueraient plus que les remèdes à son prompt rétablissement. Le prieur de Corbie lui confia l'emploi de dépositaire, et ensuite de cellerier de l'abbaye ; et dom Mabillon trouva dans l'exercice de cette double charge une diversion utile.

      Cependant son goût pour la retraite lui faisait désirer avec impatience de rentrer dans la vie commune ; et il fut envoyé à l'abbaye de St-Denis, où on l'occupa pendant un an à montrer aux curieux le trésor et les tombeaux de nos rois. Dom Luc d'Achery continuait alors à St-Germain-des-Prés son grand Recueil historique, si connu sous le nom de Spicilège ; il demanda quelqu'un pour l'aider dans ses recherches, et on jeta les yeux sur Mabillon, qui, peu connu encore dans ce genre d'érudition, devait bientôt surpasser et laisser loin derrière lui tous ses premiers maîtres. Mabillon fut chargé ensuite de publier une édition des Œuvres de saint Bernard, revue sur les anciens manuscrits ; et la manière dont il s'acquitta de ce travail important fit pressentir tout ce qu'on pouvait espérer de son zèle. Un autre ouvrage, qui l'intéressait plus particulièrement, réclama bientôt ses soins : c'est le Recueil des actes des saints de l'ordre de saint Benoît, rangés de manière à former un corps d'histoire de cet ordre célèbre. L'examen attentif des chartes, des diplômes et des autres pièces historiques renfermés dans les archives de la congrégation, l'obligation de les déchiffrer, de les comparer et de les analyser, lui inspirèrent l'idée d'un travail entièrement neuf, et dont l'importance ne peut être appréciée que par ceux qui ont eu besoin de recourir aux manuscrits originaux et d'en discuter l'âge et l'authenticité. Il s'agit du grand Traité de diplomatique de Mabillon, ouvrage dont la publication forme une époque remarquable dans l'histoire littéraire, et qui suffirait seul pour assurer à son auteur une réputation immortelle. Colbert, à qui l'on parla de cet ouvrage, fit offrir à l'auteur une pension de deux mille livres ; mais l'humble reigieux répondit qu'il n'avait aucun besoin, et refusa la récompense due à ses utiles travaux avec une fermeté qu'on ne put vaincre.

      Quelque temps après, il fut envoyé en Allemagne par ordre du roi, pour rechercher dans les archives et les bibliothèques les pièces les plus propres à enrichir l'histoire de France et celle de l'Eglise, il n'y resta qu'environ cinq mois : et l'on ne saurait imaginer tout ce qu'il rassembla de pièces utiles et curieuses dans un aussi court espace de temps. Il ne borna pas là ses soins ; il indiqua aux savants plusieurs morceaux intéressants restés inconnus jusqu'alors même à ceux qui les gardaient, et parmi lesquels on ne peut se dispenser de citer la Chronique de Trithème, publiée depuis par les moines de St-Gall. Il s'était acquitté avec trop de succès de la commission que l'on venait de lui confier pour qu'on ne souhaitât pas qu'il fit une semblable revue des bibliothèques de l'Italie. Sur la proposition de Le Tellier, archevêque de Reims, il reçut une mission pour ce pays et fut présenté avant son départ à Louis XIV, près duquel il fut introduit par ce prélat et par Bossuet. « Sire, dit l'archevêque, j'ai l'honneur de présenter à Votre Majesté le plus savant homme de votre royaume. – Dites aussi le plus humble, » ajouta Bossuet, qui avait cru qu'il y avait à son endroit une intention malicieuse chez Le Tellier.

      Mabillon partit donc pour l'Italie, accompagné de dom Germain, et son séjour dura quinze mois (du 1er avril 1685 au 02 juillet 1686). Il rapporta près de 4000 volumes pour la bibliothèque du roi. Ses lettres et celles de dom Germain, écrites d'Italie, renferment de curieux détails sur son voyage. La célébrité de son nom, répandue par sa Diplomatique, l'y avait devancé. Il fut reçu avec empressement par le cardinal Chigi. De Rome il se rendit à Naples et au mont Cassin. L'accueil qu'il reçut dans cette ville n'y fut pas moins flatteur. Le vice-roi lui envoya un de ses carrosses et lui fit offrir un bouquet par un page. Il revint ensuite à Rome. Mais les opinions gallicanes de Mabillon qui avaient été secrètement dénoncées par Norris, inspiraient quelque défiance au Vatican. Il quitta la ville éternelle sans avoir pu recevoir la bénédiction du pape.

      Mabillon, en effet, aimait la liberté de la critique ; il avait horreur du probabilisme, et il condamnait le caractère idolâtrique que prend en Italie le culte des images. Cependant il fut consulté officiellement par la congrégation de l'Index sur son sentiment touchant les ouvrages d'lsaac Vessius, d'Hornius, de Colvius, de Scotanus, relativement à la question de l'universalité du déluge, de l'âge du monde et au calcul de la version des Septante. De retour en France, à peine avait-il publié le Museum italicum, qu'il donna une nouvelle édition des Œuvres de saint Bernard, augmentée de quelques pièces inédites et de plusieurs remarques. Ses supérieurs l'engagèrent alors à émettre son avis sur une question de la plus haute importance pour eux, et qui divisait les esprits ; il s'agissait de savoir si les moines peuvent s'appliquer aux études. Le célèbre abbé de Rancé soutenait la négative ; Mabillon prouva par l'exemple et l'autorité des Pères, et par la pratique constante des plus anciens monastères, la nécessité et l'obligation de l'étude pour les religieux. L'abbé de la Trappe répondit, et le public s'aperçut que les deux illustres adversaires n'étaient pas éloignés du même sentiment, puisque l'un ne condamnait que les connaissances frivoles et que l'autre ne conseillait que les études sérieuses.

      Cette contestation apaisée, Mabillon fut invité à reprendre la plume et à s'occuper de la rédaction des Annales générales de l'ordre de saint Benoît. Son âge avancé et sa santé affaiblie par de longs travaux ne purent l'engager à refuser cette nouvelle tâche ; il avait déjà publié les premiers volumes de cet important ouvrage lorsqu'il fut attaqué d'une rétention d'urine ; il n'avoua cette incommoditéu que lorsqu'il n'y avait plus de remède ; il souffrit pendant trois semaines avec une patience inaltérable les douleurs les plus aiguës, et mourut le 27 décembre 1707, assisté de l'abbé Renaudot, à l'abbaye de St-Germain-des-Prés, âgé de 75 ans.
      Le pape Clément XI, en apprenant la mort de Mabillon, écrivit qu'un homme qui avait si bien mérité des lettres et de l'Eglise devait être inhumé dans le lieu le plus distingué, puisque les savants ne manqueraient pas de demander où reposaient ses cendres : Ubi posuistis eum (1) ? Mais le monument que le pape se proposait de faire élever était contraire à l'usage de la congrégation. Mabillon avait été nommé membre honoraire de l'Académie des inscriptions en 1701. De Boze y prononça son Eloge, inséré dans le tome 1er des Mémoires de cette savante compagnie, et réimprimé a la fin du tome 3 de la nouvelle édition de la Bibliothèque historique de France, n° 27.

      La liste des ouvrages de dom Mabillon fera connaître, mieux que ne le pourraient les plus magnifiques éloges, les services qu'il a rendus à la religion et aux lettres, et les droits qu'il conservera éternellement à la reconnaissance de la postérité. On ne répétera pas ce qui a déjà été dit à l'article de saint Bernard, de l'édition donnée par Mabillon des Œuvres de ce Père ; c'est la seule qui mérite d'être consultée des savants. Mais on a de lui :

      Acta Sanctorum ordinis S. Benedicti in sæcularum classes distributa, Paris, 1668-1702, 9 vol. in-fol. La réimpression de Venise, 1733, est moins belle et moins estimée. On conservait en manuscrit, à l'abbaye St-Germain-des-Prés, un 10ème volume qui aurait complété l'ouvrage. D'Achery et Chantelou avaient transcrit et rangé une partie des pièces qui composent cette collection ; les notes et les dissertations que Mabillon y a jointes jettent un grand jour sur une infinité de coutumes du moyen-âge et éclaircissent un grand nombre de points historiques. Les Préfaces qu'il a mises en tête de chaque volume sont autant de chefs-d'œuvre de méthode, de clarté et d'érudition ; elles ont été réimprimées séparément avec le traité De cursu gallicano, ou de l'ancien bréviaire, extrait de la liturgie gallicane, Rouen, 1732, in-4°.

      Vetera analecta, Paris, 1675-1685, 4 vol. in-8°. Le 4ème volume contient la relation du voyage de Mabillon en Allemagne, et une partie des pièces qu'il y avait recueillies. La Barre en a donné une seconde édition augmentée, ibid., 1723, in-fol., qu'on joint ordinairement au Spicilège, de dom d'Achery. Le nouvel éditeur a disposé ce recueil d'une manière plus méthodique, et y a joint des tables qui facilitent beaucoup les recherches. Il a rassemblé à la fin quelques petits ouvrages de dom Mabillon devenus rares : la dissertation De pane eucharistico asymo, dans laquelle l'auteur soutient, contre le sentiment du P. Sirmond et du cardinal Bona, que le pain azyme était en usage dans l'Eglise avant le schisme de Photius ; la Lettre publiée sous le nom d'Eusèbe Romain, sur le Culte des saints inconnus. Cette lettre fut déférée à la congrégation de l'Index, parce que Mabillon s'y était élevé, avec sa franchise ordinaire, contre quelques pratiques abusives qu'il avait remarquées pendant son séjour à Rome ; il en donna une nouvelle édition, dont il retrancha les passages qui avaient déplu, et évita ainsi une condamnation que les juges eux-mêmes n'auraient prononée qu'à regret ; cette lettre a été traduite en français par l'abbé A. Le Roi.

      Animadversiones in Vindicias Kempenses R. P. (Testelette), Paris, 1677, in-8° ; ibid., 1712, et dans les Œuvres posthumes. Mabillon y soutient le sentiment de dom Delfau qui attribuait le livre de l'Imitation de Jésus-Christ à Jean Gersen. Il y défend l'ancienneté de plusieurs manuscrits de l'Imitation, produits devant l'archevêque de Paris en 1671 ; il distingue surtout le manuscrit de Grammont, qu'il appelle Codex omnium antiquissimus, et qui est au moins, suivant l'avis de Gence, qui l'a pris pour base de son édition latine, le plus ancien des manuscrits de l'Imitation, avec les quatre livres.

      De re diplomatica libri VI, in quibus quidquid ad veterum instrumentorum antiquitatem, materiam, scripturam et stilum, etc., explicatur et illustratur, Paris, 1681, in-folio. Ce volume reparut avec un frontispice de 1709, quelques additions dans les derniers feuillets, et un Appendice de dom Ruinart ; il faut y joindre un Supplément de 1702, in-fol., dont il n a été fait aucun usage dans la réimpression partielle de 1709 (Voyez la Bibliographie de Debure, n° 5940). L'ouvrage a été réimprimé avec de nouvelles dissertations et des notes, par le marquis de Bomba, Jean Adimari, etc., Naples, 1789, 2 vol. in-fol. Cette édition, assez bien exécutée, est rare en France. Le Traité de diplomatique de Mabillon sera toujours un livre précieux pour les savants ; et si la connaissance des manuscrits a fait quelques progrès depuis ce siècle, c'est uniquement à cet ouvrage qu'on en est redevable. Il y avait vingt-deux ans qu'il jouissait d'une approbation presque universelle, lorsqlue le P. Germon entreprit de prouver que les cartes et les titres dont Mabillon avait fait usage pour établir les règles de critique qui servent à démêler l'âge et le caractère d'authenticité d'un manuscrit, n'étaient point eux-mêmes à l'abri du soupçon de fausseté, et que par conséquent les règles qu'il donne sont très insuffisantes. Mabillon lui répondit par le Supplément dont on vient de parler : mais le P. Germon ne se tint pas pour battu ; et ses répliques successives donnèrent lieu à une guerre littéraire à laquelle prirent part plusieurs écrivains français et italiens, entre autres dom Constant, dom Ruinart et Fontanini. On peut consulter l'Histoire des contestations sur la diplomatique, attribuée à Raguet.

      De liturgia gallicana libri tres, Paris, 1685 ; ibid., 1729, in-4°. Le savant auteur s'attache à prouver dans le 1er livre que l'étude de la liturgie est utile, particulièrement pour confirmer la perpétuité de l'Eglise catholique ; il donne ensuite les règles de la liturgie gallicane, dès les temps les plus reculés, et la compare avec la liturgie mozarabe. Le 2ème livre contient un ancien Lectionnaire que Mabillon avait découvert dans la bibliothèque de la célèbre abbaye de Luxeul, et qu'il fait remonter au VIIème siècle ; enfin, le 3ème livre renferme les Missels gothique, francique et ancien gallican, et un Traité de la récitation du bréviaire dans l'Eglise primitive.

      Musœum italicum seu collectio veterum scriptorum ex bibliothecis italicis eruta, Paris, 1687-89, 2 vol. in-4° ; 2ème édition, ibid., 1721, 2 vol. Dom M. Germain, qui avait accompagné Mabillon dans son voyage en Italie, a eu part aussi à la rédaction de cet ouvrage. Pendant son séjour à Rome, Mabillon, accompagné de dom Germain, offrit l'ouvrage sur la liturgie gallicane à la reine Christine, qui avant de l'agréer se l'était fait remettre et l'avait lu. Elle manifesta aux deux religieux un vif mécontentement du titre de Sérénissime qui lui était donné, mais mit sa bibliothèque à leur disposition.

      Traité des études monastiques, ibid., 1691. – Réflexions sur la réponse de l'abbé de la Trappe, ibid., 1692, 2 vol. in-4°, ou 4 vol. in-12. Cet ouvrage estimable a été traduit en latin et en italien ; mais les deux versions ont souffert des retranchements assez considérables.

      Annales ordinis S. Benedicti, in quibus non modo res monasticæ sed etiam ecclesiasticæ historiæ non minima pars continetur, Paris, 1713-39, 6 vol. in-fol. Ce savant ouvrage, commencé par Mabillon, fut continué par son confrère dom Ruinart, qui ne lui survécut que deux ans. Le 5ème volume fut publié par dom Massuet, qui l'a fait précéder de la vie abrégée des deux auteurs ; et le 6ème a été mis au jour par dom Martène, qui y a joint des additions et des corrections pour les volumes précédents. La réimpression de Lucques, 1736, contient, dit-on, quelques augmentations.
      Ouvrages posthumes de dom Mabillon et de dom Ruinart, Paris, 1724, 3 vol. in-4°. Ce recueil, par dom V. Thuilier, ne renferme pas seulement les écrits que Mabillon avait laissés inédits ; l'éditeur y a réuni beaucoup de morceaux déjà connus et qui étaient devenus rares. Le 1er volume contient plusieurs pièces relatives à l'auteur de l'Imitation de Jésus-Christ, à la Dissertation sur les azymes, au Culte des saints inconnus, aux Etudes monastiques, et des Lettres de Mabillon à ses amis, avec les réponses. On trouve dans le 2ème volume la relation (en latin) du voyage que Mabillon fit dans la Bourgogne en 1682 ; un Discours sur les anciennes sépultures de nos rois, lu à l'Académie des inscriptions, et quelques petits écrits moins importants. La 2ème partie de ce volume et la 3ème appartiennent à dom Ruinart (2). Le 3ème volume du Recueil des historiens de France contient deux Dissertations de dom Mabillon, l'une sur l'année de la mort de Dagobert Ier et de son fils Clovis ; l'autre sur l'année de l'ordination de Didier, évêque de Cahors. M. Valery, éditeur de ses Lettres, a fait remarquer à propos de ses Réflexions sur les prisons des ordres religieux, insérées au tome 2 de ses Œuvres posthumes, que Mabillon doit être considéré comme ayant eu la première idée de l'emprisonnement cellulaire, système pénitentiaire dont il propose le plan dans cet ouvrage. On peut consulter pour plus de détails, outre les ouvrages déjà cités dans cet article, la Vie de Mabillon, par dom Ruinart, Paris, 1709, in-12, traduction en latin par dom Claude de Vic, Padoue, 1714, in-8°. Une Notice historique sur Mabillon, par Labouderie, Paris, sans date (1815), in-8° ; l'Histoire de dom Mabillon et de la congrégation de St-Maur, par M. Chavin de Meulan, Paris, 1843, in-12. Les Mémoires de Niceron, t. 7 ; le Dictionnaire de Chaufepié ; la Bibliothèque des auteurs de la congrégation de St-Maur, par dom Lecerf, et l'Histoire littéraire de cette congrégation, par dom Tassin. Le portrait de Mabillon a été gravé de différents formats.


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(1)  Les cendres de dom Mabillon avaient été, pendant la révolution, déposées au musée des monuments français, d'où on les a reportées solennellement, le 26 février 1819, à l'église de St-Germain-des-Prés ; et l'on a donné le nom de ce savant religieux à une des rues voisines.

(2)  Lédition des Œuvres posthumes de dom Mabillon, par Thuillier, doit être complétée par la Correspondance inédite de Mabillon et de Montfaucon donnée par M. Valery, Paris, 1846, 3 vol. in-8°, suivie des Lettres indédites du P. Quesnel, accompagnées de notices, d'éclaircissements et d'une table analytique.  (Biographie universelle ancienne et moderne - Tome 25 - Pages 581-584)




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